27.6.08

Au moins, j'suis mort les armes à la main

25.6.08



Standi in pine to see de shoow tooonight
and dipa dilooon kairioooo
BYYY THE WAYYY i pry to say i pitchaire
PAITITOOOO


J'ai vu les Red Hot en concert une fois. À l'olympia. C'était sympa mais franchement, plus le concert avançait, moins je reconnaissais ce que je connaissais. Je captais pas: "c'est quoi ces morceaux et ces solos de merde? Pourquoi il est cramé le gars?"
C'est bien d'évoluer, mais on oublie trop souvent que les Red Hot avant, c'était vraiment cool.
Oui oui "avant c'était mieux"
Quand en 85 on est produit par George Clinton, qu'on fait de la batterie avec une casquette coyote et qu'on joue à poil sur scène, ça donne un résultat type A+ ouais c'est mon premier de l'année! Oui mais faut continuer comme ça maintenant.

1.


2.

Red Hot Chili Peppers - The Brothers Cup

3.

24.6.08

And the boy got swagger



J'aime toujours les mêmes trucs.
Au top de l'affiche, les claps qui sonnent bien. Au collège déjà, je jouais à Music sur Playstation et le seul truc sur lequel je m'acharnais, c'était les Happy Clap 1 et les Happy Clap 2 (1 coup / 2 coups). Scott Torch il est sur les Happy Clap 1 et lui, il joue à Music avec Clipse.

Clipse - Fast Life (Prod. Scott Torch)

Pharrell Williams X GQ



Tranquille.

21.6.08

Words unspoken, silence unbroken


J'ai rêvé que j'avais un Ricoh, le GX ou le Digital II, peu importe. Depuis ça m'obsède et je songe vraiment à m'en acheter un. Je rêve beaucoup d'ailleurs, mais j'ai peu de choses. Pire, parfois au réveil, je ne les veux plus vraiment.
La vraie obsession, toujours récurrente:

15.6.08

Epitaphe

Si un jour on raconte ma vie (dans un film, un livre, peu importe) j'aimerais que l'on insiste sur plusieurs points.
- Mon premier rêve récurrent d'enfance. Deux personnes chères attachées, allongées dans une grange. En face d'eux, des scies énormes. Je dois en choisir une et regarder l'autre mourir sous mes yeux.
- Le second. On me donne quelque chose de très lourd à porter. Je dois le prendre à bout de bras et l'emmener chez ma grand-mère, dans les vosges. 150 km. Si je lâche, elle (ou quelqu'un d'autre selon l'histoire) mourra.

J'aimerais qu'on insiste sur ces deux points qui me reviennent désormais sans en rêver. Pas de façon impolie, je ne vais pas me risquer à utiliser le verbe "hanter", mais ça tourne parfois autour de moi.
J'aimerais que cette histoire parle également de lutte quotidienne contre mes obsessions. Pourquoi ceci et pas cela. Enfant, je me demandais comment pouvait être la vie dans ce garçon là. Je m'imaginais prendre le contrôle et voir de ses yeux. Aujourd'hui, une bonne âme appellerait ça de l'empathie, quelqu'un de plus réaliste me dirait, portant une noix de cajou à sa bouche, que je n'arrive pas à sentir la beauté de la photo que je suis en train de prendre.
J'aimerais qu'on insiste sur cette dualité, sur la dualité en soi. Avec parfois la volonté de la fuir, parfois la trouver saine.

(En me relisant, j'aimerais qu'on insiste également sur la lourdeur de mon style d'écriture)

Parfois je respire fort, je m'étire pendant une dizaine de secondes, pensant mon torse s'allongera et que je gagnerai en afflux sanguin dans le cœur. Qu'ainsi, j'éviterai la crise cardiaque à laquelle je pense depuis longtemps.
Ah je vous vois dire des conneries genre "il est compliqué" "torturé" vas-y, "écorché vif". De la merde ça. On est tous comme ça, juste que chez certains l'afflux sanguin est une métaphore. Moi, je suis plus terre à terre tu vois.

2.6.08